j’étais rouillé les sensations commençaient a revenir doucement doucement il fallait pour reprendre mes esprits aller voir la diva divinatrice et ses runes divines divinatoires. mes nageoires merveilleuses me portèrent avec une célérité toute relative a destination. Longtemps je ne songeais plus a rien perdu dans le néant baigne dans les ténèbres, les rêves abimés lorsque je me mis a pensé a elle et me couchais ed bonnyhe hure bonheur extase! elle me disait la diva les métamorphoses du printemps et celle qui allait de pair avec celles de mon esprit, c’était un nouveau printemps qui me procurait des petits plats chauds et des pas de danse inédits. Jouant avec mes nageoires, mes ailes, j aimais suivre les lapins blancs jusqu a de nouveaux rivages, mirages sans age de mes espoirs. Les rythmes pulsaient des triangles sans angles ni obtus tandis qu’horus savourait sans honte ni coutumes ni us. Les hirondelles nouvelles tournaient autour de moi, formaient de belles trajectoires, dessins runiques annoncant les tempetes uniques de reveil sensoriel. La diva divaguait à la lecture des lunes et des runes, prenant le controle, vaquait à créer des futures. Moi j’avançais sous son contrôle je jure. la triangulation de l amour s opérait, brillante en fourrure de loutre